C’est quand vient l’automne que justement ma cabane ne suffit plus.
Aux premières pluies, ça va encore, la grande nappe imperméable fait office. Mais si elle laisse glisser les gouttes, elle laisse aussi passer le froid.
Ce froid qui vivifie diront ceux qui font leur jogging tôt le matin. Mais je pense au froid qui engourdit.
Je dors de froid et je rêve d’un home sweet home dont j’aurais hérité par erreur.
(C) Solange BAZELY - 2015
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