lundi 8 juin 2015

La chouchou de Schumann


(Robert, le musicien, pas Maurice, le politicien)

Séparé de sa belle Clara, Robert ne pensait qu’à elle.
« Ach ! Mein kleine Poupoune ! » soupirait-il.
(Une bouteille à la main, il boit abondamment)

Quand l’esprit embrumé d’un élan alcoolique apaise l’âme, le rêve s’épanouit.
Puis, hélas, l’euphorie, dans la tristesse, se noie.

Et le musicien émerge de l’ivresse, l’estomac retourné, la langue en queue de castor et le cheveu douloureux.

« Que fais-je en ces ruines gigantesques et crépusculaire ? »
(décor romantique : château dévasté ou abbaye fantomatique, en fonction des disponibilités)

« La mousse sur laquelle je siège me transit et l’humidité glace mon fondement.
Ai-je donc tant bu que me voici perdu au fin fond d’une futaie sans fin ? »


Campeurs éméchés ! Ne faites pas comme Schumann !
Avec les lampes Clara, vous verrez toujours où vous conduisent vos pas !

Lampes Clara, la clarté avec éclat !


(C) Monique THOMIERES
 

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